mercredi 30 juin 2010
jeudi 24 juin 2010
mercredi 23 juin 2010
Le Thabor : un vaste programme de restauration
"Plusieurs aménagements ont d'ores et déjà été réalisés, les fontaines ont été provisoirement remises en eau... D'ici quelque temps, le Thabor retrouvera sa splendeur.
Pourquoi ? Comment ?C'était quoi le problème ?
Fontaines vides, grotte interdite, kiosque menacé... Le parc du Thabor, ce sont 10,5 ha de verdure sur un patrimoine d'espaces verts publics de 850 ha. Et le budget est le même. Des arbitrages sont donc à faire. La situation du Thabor avait soulevé quelques inquiétudes en septembre dernier. Certains craignaient que tout ça ne soit pas réparé ou remis en état avant longtemps.
Qu'est-ce qui a été fait depuis ?
Le petit pont de l'îlot des Catherinettes, au bas du vallon du même nom, a été remis en état en décembre. La volière a été repeinte, le pourtour de la grotte amélioré avec la réouverture de l'escalier latéral. Mais surtout, la remise en eau des deux bassins à la française, arrêtés depuis un an, est effective. Cette réparation est provisoire. Il faudra reconcevoir ces deux bassins au niveau de leur tubage d'ici 5 ans. Coût de cette remise en eau provisoire : 8 000 €.
D'autres choses en cours ?
Le kiosque a été conçu en 1875 par Jean-Baptiste Martenot. Cet ouvrage de fonte et de bois vieillissait mal et nécessitait la rénovation de l'ensemble de ses éléments (plancher, structures en fonte, toiture, peintures). Les travaux ont débuté début juin pour une durée de six mois. L'ouvrage sera rénové à l'identique. Coût : 460 000 €.
Et à venir ?
Essentiellement le réaménagement de la courette de l'Enfer, ancien lieu de duels au XIXe siècle, et qui depuis quelques années était devenu un espace quasi à l'abandon. Ce qui va changer ? Il n'y aura plus d'espace chien ni de bennes mais une aire de compostage sera mise en place d'ici deux ans. Cette courette, toute en longueur, redeviendra un espace ouvert propice aux rencontres et jeux informels. Le théâtre de verdure sera mis en valeur. Enfin, La colonne de Juillet sera réinstallée (le calendrier n'est pas fixé).
Quelques questions restent en suspens ?
L'ensemble de l'Orangerie deviendra-t-elle à terme une salle d'expo ? « Il faudrait qu'elle soit rénovée et chauffée, et ça coûtera très cher », explique Yves Préault, adjoint délégué à la communication et à la vie quotidienne. La réouverture de la grotte est-elle programmée ? « Le béton d'époque est mort, il n'est pas question de faire des rustines. Rien n'est donc décidé pour l'instant », explique l'élu. Au final, la plupart des éléments mobiliers et immobiliers du parc, qui datent de son réaménagement en 1868 par Denis Bülher, seront rénovés. La première tranche de travaux a été fixée ; la seconde ne l'est pas.
Et la verdure dans tout ça ?
Un relevé de tous les arbres du parc et de leur état sanitaire est en cours. Un état prévisionnel sera délivré fin 2010. Ces jours-ci, l'équipe des jardiniers procède au fleurissement et à la mise en place des parterres d'été. C'est le moment d'oser une balade découverte ou redécouverte ! "
Fontaines vides, grotte interdite, kiosque menacé... Le parc du Thabor, ce sont 10,5 ha de verdure sur un patrimoine d'espaces verts publics de 850 ha. Et le budget est le même. Des arbitrages sont donc à faire. La situation du Thabor avait soulevé quelques inquiétudes en septembre dernier. Certains craignaient que tout ça ne soit pas réparé ou remis en état avant longtemps.
Qu'est-ce qui a été fait depuis ?
Le petit pont de l'îlot des Catherinettes, au bas du vallon du même nom, a été remis en état en décembre. La volière a été repeinte, le pourtour de la grotte amélioré avec la réouverture de l'escalier latéral. Mais surtout, la remise en eau des deux bassins à la française, arrêtés depuis un an, est effective. Cette réparation est provisoire. Il faudra reconcevoir ces deux bassins au niveau de leur tubage d'ici 5 ans. Coût de cette remise en eau provisoire : 8 000 €.
D'autres choses en cours ?
Le kiosque a été conçu en 1875 par Jean-Baptiste Martenot. Cet ouvrage de fonte et de bois vieillissait mal et nécessitait la rénovation de l'ensemble de ses éléments (plancher, structures en fonte, toiture, peintures). Les travaux ont débuté début juin pour une durée de six mois. L'ouvrage sera rénové à l'identique. Coût : 460 000 €.
Et à venir ?
Essentiellement le réaménagement de la courette de l'Enfer, ancien lieu de duels au XIXe siècle, et qui depuis quelques années était devenu un espace quasi à l'abandon. Ce qui va changer ? Il n'y aura plus d'espace chien ni de bennes mais une aire de compostage sera mise en place d'ici deux ans. Cette courette, toute en longueur, redeviendra un espace ouvert propice aux rencontres et jeux informels. Le théâtre de verdure sera mis en valeur. Enfin, La colonne de Juillet sera réinstallée (le calendrier n'est pas fixé).
Quelques questions restent en suspens ?
L'ensemble de l'Orangerie deviendra-t-elle à terme une salle d'expo ? « Il faudrait qu'elle soit rénovée et chauffée, et ça coûtera très cher », explique Yves Préault, adjoint délégué à la communication et à la vie quotidienne. La réouverture de la grotte est-elle programmée ? « Le béton d'époque est mort, il n'est pas question de faire des rustines. Rien n'est donc décidé pour l'instant », explique l'élu. Au final, la plupart des éléments mobiliers et immobiliers du parc, qui datent de son réaménagement en 1868 par Denis Bülher, seront rénovés. La première tranche de travaux a été fixée ; la seconde ne l'est pas.
Et la verdure dans tout ça ?
Un relevé de tous les arbres du parc et de leur état sanitaire est en cours. Un état prévisionnel sera délivré fin 2010. Ces jours-ci, l'équipe des jardiniers procède au fleurissement et à la mise en place des parterres d'été. C'est le moment d'oser une balade découverte ou redécouverte ! "
Ouest-France
mardi 22 juin 2010
lundi 21 juin 2010
Week-end, Fete de la Musique....Petit à petit...
mercredi 16 juin 2010
mardi 15 juin 2010
Les travaux ont enfin commencé...Une métamorphose s'amorce...
Idéalement située, à proximité de deux entrées, dont une desservant les écoles primaires et maternelles, d’un manège, et doté d’un cadre idéal et privilégié. Ce lieu restait, malgré tous ces atouts, peu animé. Précédemment, le décor intérieur, était dépourvu de plaisirs visuels, l’offre commerciale, l’accueil et le service était en inadéquation avec la clientèle et le Parc de Thabor. Une métamorphose de cette "buvette" s’imposait...
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